Un cinéma purement optique et sonore. Les protagonistes deviennent eux-mêmes des spectateurs. Ils sont des “voyeurs” et ils ne s’agitent plus. Lynch indique dès le début que c’est un film avec des code à déchirer.
7.5/10 Brilliant use of Max Richter’s recomposed Vivaldi’s Winter 1 especially the change of instrument from strings to the traditional instruments in Soviet patriotic songs.